deux emprunts qui combin&eacute

Emprunt nationalle 28/06/2012 16:26 Une idée pour la FranceLa rigueur est à nos portes. La croissance n’est plus là. Or nous avons besoin de l’une et de l’autre.Rigueur au sens d’orthodoxie dans la gestion de nos finances publiques. Le temps des cigales est bel et bien révolu. Il va nous falloir inscrire en lettre d’or soit dans la Constitution, soit dans la Loi la règle d’or de l’équilibre budgétaire.Pour les années qui viennent et pour longtemps la France devra non pas seulement être en équilibre, mais en excédent budgétaire afin de rembourser la dette.Les politiques manquent de courage vis à vis de l’opinion publique. Faire croire aux gens que tout peut être comme avant en faisant payer les riches est un mensonge &eacute,bottes ugg pas cher;honté. Quand tous les soi-disant riches ne seront plus là, qui paiera? L’Etat assume de moins en moins les fonctions régaliennes qui sont les siennes, entre autres celles de la sécurité et de la protection des citoyens, de la justice, de l’éducation. Redonnons-nous les moyens de ces missions essentiellesCertains préconisent la sortie de l’euro. C’est avoir oublié le cycle infernal des dévaluations successives qui renchérissaient le coût de nos importations. La principale victime étant toujours les consommateurs et notamment les plus démunis d’entre nous. Le coût de l’essence, le co&ucirc,ugg pas cher;t de l’énergie d’une façon générale ne tarderait pas à redevenir prohibitif.Voilà le constat. Comment parvenir&agrave,ugg australia; sortir du cycle infernal ,louis vuitton?Pas très loin de nous un exemple existe. Certes dans un autre contexte, qui &eacute,doudoune moncler;tait celui de la croissance économique, mais rien n’interdit de s’en inspirer.En 1952 et 1958 Antoine PINAY a lancé deux emprunts qui combinés à la rigueur budgétaire ont aidé la France,nike air jordan, et d’une façon spectaculaire, à sortir de la spirale du désendettement. Et de la morosité.Il suffit d’essayer et d’oser.Plantons le décor.La rigueur est là, et ce n’est que le début. Le service de la dette va devenir prohibitif car nous allons être confrontés à très brève échéance à des taux d’intérêts similaires à ceux que paient les Espagnols et les Italiens sur les marchés extérieurs,doudoune moncler homme. Arrêtons de servir des intérêts supplémentaires à de l’argent placé sur des Livrets A et autres Livrets d’Epargne Durable en augmentant les plafonds de versement qui ne profitent qu’aux 10% les plus fortunés en recherche continuelle d&rsquo,jordan;exonération fiscale, canalisons cette épargne vers un objectif plus productif. Arrêtons de servir des taux d’intérêts à des banquiers et financiers internationaux permettons aux Français, qui vont devoir de toutes façons subir la rigueur, d’avoir en bénéfice une partie de cet effort de solidarité. Rendons aux Français les bénéfices de leur épargne.Arrêtons de bannir et de mettre au ban de la société les riches. Faisons en sorte qu’ils participent dignes et fiers à l’effort collectif. Ce sont eux qui pour la plupart contribuent à la solidarité nationale. Ce sont eux nos entrepreneurs qui nous permettent de pouvoir travailler et de vivre dignement dans une société solidaire. Redonnons leurs les moyens d’investir, d’embaucher et un cadre fiscal stable permettant des projets.Arrêtons de spolier continuellement l’épargne individuelle qui sera dans les années qui viennent une des ressources non négligeable des futurs retraités. Notre modèle social actuel ne pourra pas assumer la totalité des charges de retraites. Le risque étant que de plus en plus de gens soient à la charge de la collectivité, tirant de ce fait par le bas les pensions moyennes en créant de plus en plus d’ayants droit. Favorisons au contraire la possibilité de constituer une telle épargne sans tracasseries fiscales sans cesse renouvelées.Créons un emprunt national d’un montant conséquent, c’est-à-dire au moins égal à la moitié voire la totalité de notre dette, uniquement consacré au remboursement de la dette extérieure. Le désendettement partiel ou total nous permettrait de réorienter les sommes prélevées au titre des impôts et autres contributions vers des investissements productifs, et surtout d’alléger le fardeau fiscal qui lui est contre productif. Afin que le service de la dette lié à cet emprunt soit un réel soulagement pour le budget de l’Etat il serait égal au taux des livrets défiscalisés et serait exonéré d&rsquo,moncler;impôts comme eux.Parallèlement par la loi l’Etat ne serait plus autorisé à aller emprunter sur les marchés pendant toute la durée de vie de l’emprunt. Les taxes de toutes sortes freinant la croissance et la consommation seraient supprimées. Pas toutes, mais toutes celles qui empêchent les embauches, les investissements, confisquent l’épargne et spolient les Français.La gestion de cet emprunt, car il faudra le gérer son utilisation n’étant pas totalement immédiate suivant en cela les échéances des emprunts en cours,ugg, devra être du ressort non pas des gouvernants en place, mais assurée soit par une commission parlementaire composée d’élus de tous horizons, soit par une commission sous l’égide de la banque de France. Ceci dans le seul souci d’éviter un détournement d’utilisation. La confiance en nos politiques ayant ses limites quand on constate où ils nous ont emmené.Si la dynamique créée était du même ordre que celle vécue par nos aînés avec l’emprunt Pinay 1958 et la création du nouveau franc, nous pourrions retrouver notre place dans la concertation internationale, au lieu de se faire donner continuellement des leçons par nos partenaires internationaux. Il est plus simple de négocier lorsque nous avons des volants de manœuvre plutôt que de négocier en situation de demandeurs.
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