À Mons-en-Pévèle, des cadavres déterrés et un loup, sous l’

,louboutin ? Mons-en-Pévèle, des cadavres déterrés et un loup,hogan uomo, sous l’?il d’un cameraman mythique Par la rédaction pour , Publié le 22/01/2014 Par ANNE-GA?LLE DUBOIS (PHOTOS MAX ROSEREAU) Ne pas être trop frileux. Ne pas avoir besoin de trop de sommeil. Et ne pas rechigner à faire dix fois les mêmes pas. Si vous réunissez ces conditions, alors, peut-être que le cinéma vous tend les bras… On a vérifié ces principes mardi à Mons-en-Pévèle, alors que se tournait la série ? Les témoins ? pour France 2,hogan outlet, au cimetière. Ambiance polar, sous l’?il d’un cameraman mythique,duvetica Milano, Yves Agostini. La semaine dernière, on vous parlait des ,piumini moncler, et d’une enquête confiée à Thierry Lhermitte, devenu flic pour un r?le taillé sur mesure par le réalisateur Hervé Hadmar. Cette fois, lundi et mardi, c’est à Mons-en-Pévèle que nous a emmené ce thriller qui s’étalera sur six épisodes diffusés sur France 2, en fin d’année. Des histoires de cadavres,scarpe hogan, encore,louboutin pas cher, mais dans un lieu plus propice, le cimetière… Pas de Thierry Lhermitte en vue (il n’appara?t pas dans les scènes tournées à Mons) mais beaucoup de monde autour des tombes. Comédiens, cameramans, perchistes, accessoiristes, scriptes,sac longchamp pliage pas cher, figurants… Tous avaient enfilé les doudounes et les bonnets, mais le froid ne les a pas épargnés. Mardi après-midi, dans une ambiance brumeuse, une accessoiriste venait régulièrement apporter des mouchoirs à Marie Dompnier,Cheap Coach Outlet Store Online, l’actrice principale,scarpe hogan, qui joue une femme flic ! Beaucoup moins glamour que lorsque les acteurs montent les marches à Cannes ! ,ralph lauren pas cher,http://www.ajvgrupa.lv/search/node/? Vous savez,hogan uomo, dans les métiers du cinéma, il y a beaucoup d’inconvénients. Je ne sais pas si 10 % de la population tiendrait ! ? Celui qui nous avertit a l’?il vissé à sa caméra depuis… 1964 ! Yves Agostini sait de quoi il parle. Dans le milieu des techniciens du 7e art, cet homme qui partage sa vie entre Paris et la Corse est un mythe. Il a tenu la caméra aux c?tés de Rappeneau (Cyrano, le Hussard sur le toit), Veber (Le D?ner de con, Les Fugitifs),chanel sito ufficiale, Blier (Préparez vos mouchoirs), Chabat (Astérix et Obélix),http://www.xsgzxxx.cn/xbyx/guestbook.asp, Demy (Peau d’,Cheap Coach Factory Outlet Store?ne), Chabrol… A 71 ans, il n’a pas raccroché mais travaille quand il en a envie. On n’imagine pas forcément rencontrer un tel personnage, qui a c?toyé les plus grands,duvetica piumini 2013, sur un téléfilm… ? Pourquoi ? Je fais le même métier. Je m’adapte aux demandes du réalisateur, je me mets au diapason, confie Yves Agostini,moncler outlet, humble et pas blasé. Ce qui change entre le cinéma et la télé, c’est le rythme. Pour un téléfilm, on fait énormément de séquences dans une journée. ? Des journées très longues puisque la nuit de lundi, l’équipe avait fini de tourner au cimetière à 3h45 du matin et s’apprêtait à terminer, mardi soir, à 23 heures… Pour couronner le tout et donner encore plus froid,chaussures louboutin, un camion était venu spécialement faire tomber la pluie, lundi : un comble dans notre région ! Et,borse chanel, sans dévoiler toute l’intrigue,Cheap Coach Factory Online, un loup est même venu tourner à Mons-en-Pévèle. ? On a enregistré son cri dans la nuit, c’était magique ?, nous confiait un technicien. Le tournage se poursuit jusqu’au 11 avril dans la région. On verra le résultat à l’écran en fin d’année. Peut-être y reconna?tra-t-on quelques figurants du secteur, notamment Jean-Guy Landrieux et Marie-Jeanne Desbiens, tous deux membres de l’association des Amis du PP à Thumeries,http://www.gdorchid.com/guestbook.asp, et qui faisaient leurs premiers pas devant la caméra pour une scène d’enterrement. On vous avait prévenus,burberry outlet, il y a beaucoup de cadavres dans cette série…

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